Pour la première fois depuis la proclamation de l’état d’urgence, le Conseil d’État a suspendu l’assignation à résidence d’un homme et a condamné l’État à lui verser 1.500 euros.
Halim Abdelmalek, l’homme visé par cette assignation, nous livre ici son point de vue sur l’affaire :
Etat d'urgence: l'Etat condamné pour la… par pascontent-tv
Pour la première fois depuis la proclamation de l’état d’urgence, le Conseil d’État a donc décidé de suspendre une assignation à résidence, et a condamné l’État à verser 1.500 euros à la personne concernée. La plus haute juridiction administrative a rejeté un à un les arguments du ministère de l’Intérieur, pour qui Halim Abdelmalek, assigné à résidence le 15 décembre à Vitry-sur-Seine, serait un islamiste radical et dangereux.
Dans cette interview, Halim Abdelmalek déclare qu’il souhaite que son histoire soit connue du plus grand monde, au risque de représailles de la part des services de renseignements. Une démarche courageuse, qui mérite donc tous nos partages !!!
Et si on se laisse tous pousser la barbe?Putain,sans dec,c’est plutot le nom qui a jouer,plus le « type Arabe »!…..pauvre FRANCE!
Je m’y attelle et en attendant, je me permets de vous coller le dernier billet de mon blog ; https://jbl1960blog.wordpress.com/2016/01/24/demandez-le-programme/ Bon, on a pas le cul sorti des ronces, mais ça bagarre, non ? Merci à vous Greg ; A+ JBL1960
Tenez Greg, un premier billet intégrant votre VLOG#37. La suite, après une pause pour cause de grippe. J’suis en apnée totale. Donc avant de DCD je mets en veille. A+ JBL1960
J’avoue être surpris de cette condamnation. Valls n’aurait donc pas pu verrouiller tous les artifices et recours administratif en France pour avoir les mains libre et mener sa politique Nazi ?
Un coup de fatigue peut être ?
Alors Manu, t’as les jambes qui flanchent ?
Alors Abdelmalek, tu n’as rien compris?
Pour être peinard vis à vis de l’état, rejoint l’axe du bien américano sioniste, convertis toi au judaïsme et arbore avec fierté ta kipa, ainsi tu seras à l’avant garde de la république ….